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Archives
Dès 1940, les archives témoignent de faits de résistance dans plusieurs villes seine-et-marnaises, des plus anodins aux plus sérieux. D’abord faite d’actions individuelles non organisées (distribution de tracts, coupure de câbles téléphoniques militaires), la résistance seine-et-marnaise s’organise rapidement en réseaux, comme le réseau « Hector » de l’hôpital de Coulommiers, auquel participe le médecin Joseph Brau (1891-1975), ou encore celui de Pierre Georges, dit le colonel Fabien (1919-1944).
Les maires de plusieurs villes du département impliquent la municipalité dans des actes de résistance organisée, comme Rémy Dumoncel, maire d’Avon, qui fabrique, avec toute son équipe municipale, de faux-papiers pour les résistants ou des personnes juives.
Le « maquis du Calvaire » de Moret-sur-Loing et le « maquis de Saint-Barthélémy » près de La Ferté-Gaucher sont des lieux de refuge pour les résistants traqués par la Gestapo.
Connus ou inconnus, de nombreux Seine-et-marnais, pour des motivations diverses mais dans un même but, ont refusé la domination de l’Occupant et la collaboration du régime de Vichy.
Seconde Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale