Flash info
Annulation conférence du 30 septembre 2025
Veuillez noter que la conférence prévue le 30 septembre 2025 est annulée.
Nous vous prions de nous excuser pour la gêne occasionnée.
Archives
Dès 1940, les archives témoignent de faits de résistance dans plusieurs villes seine-et-marnaises, des plus anodins aux plus sérieux. D’abord faite d’actions individuelles non organisées (distribution de tracts, coupure de câbles téléphoniques militaires), la résistance seine-et-marnaise s’organise rapidement en réseaux, comme le réseau « Hector » de l’hôpital de Coulommiers, auquel participe le médecin Joseph Brau (1891-1975), ou encore celui de Pierre Georges, dit le colonel Fabien (1919-1944).
Les maires de plusieurs villes du département impliquent la municipalité dans des actes de résistance organisée, comme Rémy Dumoncel, maire d’Avon, qui fabrique, avec toute son équipe municipale, de faux-papiers pour les résistants ou des personnes juives.
Le « maquis du Calvaire » de Moret-sur-Loing et le « maquis de Saint-Barthélémy » près de La Ferté-Gaucher sont des lieux de refuge pour les résistants traqués par la Gestapo.
Connus ou inconnus, de nombreux Seine-et-marnais, pour des motivations diverses mais dans un même but, ont refusé la domination de l’Occupant et la collaboration du régime de Vichy.
Histoire 77
Seconde Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale