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Victor Cherbuliez (1829-1899)

C’est par ses premiers écrits, inspirés de ses nombreux voyages et des philosophies grecque et orientale, que Victor Cherbuliez attire l’attention de George Sand et de Sainte-Beuve. Grâce à eux, il entre dans les cercles littéraires parisiens et peut publier ses romans cosmopolites ainsi que ses études et chroniques de politique étrangère dans la Revue des deux mondes, dans laquelle George Sand écrit également. En 1882, il est élu à l’Académie française.
Victor Cherbuliez vit les 25 dernières années de sa vie au hameau du Perreux, entre Quincy-sous-Sénart et Combs-la-Ville. Ce cadre rustique lui inspire son roman La Ferme du Choquard, récit réaliste et d’aventure sur les mœurs d’une grande exploitation agricole briarde au XIXe siècle.
- Le comte Kostia, Paris : Hachette, 1863.
- L’Aventure de Ladislas Bolsk, Paris : Hachette, 1869.
- La Ferme du Choquard, Paris : Hachette, 1883.
- Bartillat (C. de), La Brie qui pense, Étrépilly : Les presses du village, 1984.
- Bartillat (C. de), « Victor Cherbuliez, un réaliste de l’extraordinaire », préface de La ferme du Choquard, Étrépilly : Les presses du village, 1982.
- Cellières (A.), Victor Cherbuliez, romancier, publiciste, philosophe, Paris : Droz, 1936.
Sur Internet
- Victor Cherbuliez et son oeuvre
Notice de l'Académie française