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Archives L'histoire de la Seine-et-Marne en chanson et en musique Publié le 5 août 2020 Cette chanson fait référence à un fait divers qui a fait la une des journaux et le bonheur des chansonniers. L'abbé Denoyer, curé de Bombon, a été flagellé le 5 janvier 1926 par une douzaine d'adeptes de la secte "Notre-Dame des Pleurs" de Bordeaux aux motifs obscurs que l’abbé avait jeté un sort à l’une d’entre elles, Marie Mesmin. L'histoire fit scandale. Le parquet de Melun fut saisi de l’affaire. __Le martyr de la flagellation (curé de Bombon), paroles de F. Montagnon, Paris : Éditions de Rue, [1926]. 1 Feuillet recto-verso, 17*27 cm (AD77, 150J4/5) De nombreuses chansons ont vu le jour, dont celle de F. Montagnon, compositeur et parolier. L’issue de l’affaire aboutit à la condamnation à 6 mois de prison pour 8 flagellants et au paiement de dommages et intérêts au curé de Bombon. La chanson se chante sur un air connu de l’époque, « Trompette en bois » (1924), mélodie joyeuse et enlevée. L’exemplaire conservé aux Archives départementales reprend les 3 couplets et le refrain de la chanson de Montagnon. Il porte le cachet du successeur de l’enseigne Jost, marchand de musique et compositeur à Melun. __Le martyr de la flagellation (curé de Bombon), paroles de F. Montagnon, Paris : Éditions de Rue, [1926]. 1 Feuillet recto-verso, 17*27 cm (AD77, 150J4/5) Cette chanson est dédiée à la mémoire du poète Hégésippe Moreau (1810-1838), ouvrier typographe à Provins. La musique et les paroles ont été composées par Pierre Dupont (1821-1870), probablement pour accompagner la souscription destinée à élever, sur la tombe d’Hégésippe Moreau au cimetière Montparnasse, un monument à sa mémoire. ___Hégésippe Moreau : chant inédit (poésie et musique), musique et paroles de Pierre Dupont, Paris : Martinon, 1851. 4 pages, 14 * 20 cm (AD77, AZ4203) Pierre Dupont, poète et chansonnier, est né à Lyon mais il possède des attaches familiales à Provins. Il séjourne fréquemment dans cette ville où il a fait la connaissance d’Hégésippe Moreau. Il a composé tantôt des chants patriotiques, tantôt des chansons rustiques mais aussi humoristiques et sentimentales. En 1852, il est condamné à 7 ans de déportation pour des refrains à tendance socialiste, puis gracié aussitôt. ___Hégésippe Moreau : chant inédit (poésie et musique), musique et paroles de Pierre Dupont, Paris : Martinon, 1851. 4 pages, 14 * 20 cm (AD77, AZ4203) L’exemplaire conservé aux Archives départementales est un petit feuillet imprimé qui contient les 7 couplets de la chanson ainsi que la partition musicale. Il comprend aussi la souscription pour élever le monument à la mémoire du poète. Il conserve aussi sa couverture avec une petite vignette illustrée représentant Pierre Dupont adossé à un arbre avec sa pipe et, à ses cotés, plusieurs instruments de musique : un tambour, une lyre et une cornemuse. ___Hégésippe Moreau : chant inédit (poésie et musique), musique et paroles de Pierre Dupont, Paris : Martinon, 1851. 4 pages, 14 * 20 cm (AD77, AZ4203) ___Hégésippe Moreau : chant inédit (poésie et musique), musique et paroles de Pierre Dupont, Paris : Martinon, 1851. 4 pages, 14 * 20 cm (AD77, AZ4203) La « Marche à la Tour » est une partition de musique pour piano composée par Henri Haye, éditeur de musique, facteur ou marchand de piano à Provins vers 1913. Ce morceau est dédié à la Tour de Provins. L'illustration, probablement une lithographie couleur, est due à Henry Viollet, illustrateur de partition musicale à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. __Marche à la Tour, musique d’Henri Haye¸ Paris : E. Meuriot éditeur, [1913]. 10 pages, 27*35cm (AD77, 4AZ1059) Cette œuvre musicale est encore jouée actuellement lors du concert « Provinoiseries » organisé en juin 2011 par l’École de Musique du provinois. L’exemplaire conservé aux Archives départementales contient la partition musicale et conserve sa couverture, illustrée en couleurs par H. Viollet, représentant la Tour César dans un cercle entourée de roses et l'enceinte de la vieille ville. __Marche à la Tour, musique d’Henri Haye¸ Paris : E. Meuriot éditeur, [1913]. 10 pages, 27*35cm (AD77, 4AZ1059) Marche à la Tour, musique d’Henri Haye¸ Paris : E. Meuriot éditeur, [1913]. 10 pages, 27*35cm (AD77, 4AZ1059) Marche à la Tour, musique d’Henri Haye¸ Paris : E. Meuriot éditeur, [1913]. 10 pages, 27*35cm (AD77, 4AZ1059) Marche à la Tour, musique d’Henri Haye¸ Paris : E. Meuriot éditeur, [1913]. 10 pages, 27*35cm (AD77, 4AZ1059) Marche à la Tour, musique d’Henri Haye¸ Paris : E. Meuriot éditeur, [1913]. 10 pages, 27*35cm (AD77, 4AZ1059) Marche à la Tour, musique d’Henri Haye¸ Paris : E. Meuriot éditeur, [1913]. 10 pages, 27*35cm (AD77, 4AZ1059) Marche à la Tour, musique d’Henri Haye¸ Paris : E. Meuriot éditeur, [1913]. 10 pages, 27*35cm (AD77, 4AZ1059) Marche à la Tour, musique d’Henri Haye¸ Paris : E. Meuriot éditeur, [1913]. 10 pages, 27*35cm (AD77, 4AZ1059) La chanson "La Bergère de Barbizon" a été interprétée par Mademoiselle Amiati, nom de scène de Thérèse Abbiate (1851-1893), probablement vers 1875. Cette chanteuse populaire est connue à l'époque pour son interprétation du répertoire paysan puis pour ses chansons patriotiques et revanchardes. "La Bergère de Barbizon" appartient au genre dit de paysannerie et raconte l'amour impossible d'une jeune bergère de Barbizon pour un jeune peintre de la ville qui revient chaque année au printemps peindre les paysages autour du village. C'est l'hiver, la jeune fille se languit de l'absence du peintre. __La Bergère de Barbizon, paroles de H. Bedeau et musique de Paul Henrion, Paris : Ch. Egrot éditeur, vers 1875. 4 pages, 26,5*34,5 cm (AD77, AZ14769) L'exemplaire conservé aux Archives départementales contient la partition musicale et les couplets de la chanson. Il conserve sa couverture illustrée en noir et blanc, probablement une lithographie, représentant une jeune bergère avec ses moutons et à l'arrière-plan le peintre à son chevalet. La Bergère de Barbizon, paroles de H. Bedeau et musique de Paul Henrion, Paris : Ch. Egrot éditeur, vers 1875. 4 pages, 26,5*34,5 cm (AD77, AZ14769) __La Bergère de Barbizon, paroles de H. Bedeau et musique de Paul Henrion, Paris : Ch. Egrot éditeur, vers 1875. 4 pages, 26,5*34,5 cm (AD77, AZ14769) La Bergère de Barbizon, paroles de H. Bedeau et musique de Paul Henrion, Paris : Ch. Egrot éditeur, vers 1875. 4 pages, 26,5*34,5 cm (AD77, AZ14769) Chanson patriotique de la première guerre mondiale composée par Théodore Botrel (1868-1925), auteur compositeur et interprète français né à Dinan. Il a composé de nombreuses chansons, dont la célèbre Paimpolaise, et de nombreux chants patriotiques pendant la Grande guerre. __Rosalie : chanson-marche en l'honneur de la terrible « Baïonnette française », paroles et musique de Théodore Botrel, 1915. Feuillet, 3 pages, 20*29cm (AD77, AZ6407) Rosalie, probablement composée en 1914, est extraite des « Chants du bivouac », recueil qui regroupe des refrains de guerre. Il s’agit d’une chanson-marche en l'honneur de la terrible « Baïonnette française » : Rosalie est le surnom de la baïonnette du fusil (Lebel) des soldats français de la Grande guerre. Personnifiée dans cette chanson, « Rosalie » n’en garde pas moins les attributs d’une baïonnette : « baïonnette donc ! », « sa robe fourreau collante », « elle pique, et perce et taille », « pare en tête et pointe à fond ». Elle fait référence à des épées célèbres comme Durandal, l’épée de Roland, et Joyeuse, celle de Charlemagne. __Rosalie : chanson-marche en l'honneur de la terrible « Baïonnette française », paroles et musique de Théodore Botrel, 1915. Feuillet, 3 pages, 20*29cm (AD77, AZ6407) Cette chanson donne une image enjouée de la guerre. L’exemplaire conservé aux Archives départementales est un feuillet de 2 pages paru dans « Le petit journal » en 1915. La couverture porte la mention « Prime offerte gratuitement à tous les lecteurs du Petit Journal » et une dédicace de Théodore Botrel à son Régiment, le 41e d'Infanterie de Rennes. Il contient la partition musicale et les couplets de la chanson. Il conserve sa couverture illustrée en couleur, dessinée par Job, d’après les initiales de son nom, Jacques Marie Gaston Onfroy de Bréville (1858-1931) ; un poilu en tenue bleu horizon, avançant baïonnette au canon au milieu des éclats d'obus. __Rosalie : chanson-marche en l'honneur de la terrible « Baïonnette française », paroles et musique de Théodore Botrel, 1915. Feuillet, 3 pages, 20*29cm (AD77, AZ6407) Precedent Retour à la liste Suivant