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Archives Gustave Caillebotte, cheville ouvrière des Impressionnistes album 2 Publié le 4 août 2020 Les deux enveloppes et leurs contenus sont enregistrés dès le lendemain du décès du peintre, le 22 février 1894 auprès du tribunal civil de Meaux. Chaque pièce est alors tamponnée à l’encre noire avec le même numéro de dossier « 1314 » sur chacun des timbres fiscaux et paraphé par G. Lefebvre Devaux, président du tribunal civil de Meaux. AD77, 112E623-1 Gustave Caillebotte transmet son testament sous enveloppe cachetée qui ne sera ouverte que le lendemain de son décès, le 22 février 1894 auprès du tribunal civil de Meaux. Ici le monogramme GC, bien qu’abimé, se lit dans la cire noire. AD77, 112E623-1 Transcription « Ceci est mon testament. On trouvera chez mon ami Albert Courtier un testament fait par moi en 1876 après la mort de mon frère René. Je maintiens toute la partie de ce testament qui a trait au don que je fais de la peinture des autres que je possède _ ce qui a rapport à l’exposition de 1878 est naturellement devenu inutile _ Mon intention formelle est que Renoir n’ait jamais le moindre ennui à cause de l’argent que je lui ai prêté. Je lui fais remise entière de sa dette et je le dégage complètement de » AD77, 112E623-1 Transcription « toute solidarité avec M. Legrand Je laisse à Mademoiselle Charlotte Berthier une rente viagère de douze mille francs. Je désire que cette rente soit insaisissable_ et payable tous les mois, j’aimerais même mieux tous les quinze jours. Albert Courtier pourrait se charger de ce soin. Cette rente doit être nette de tous droits de succession_ Je laisse vingt mille francs à ma filleule Jenny Courtier Je laisse à mon frère Martial » AD77, 112E623-1 Transcription « en plus de la part qui lui revient légalement, l’entière prospérité de ce que nous possédons en commun, meubles et Immeubles _ Fait à Paris le Vingt novembre mil Huit cent quatre vingt Trois _ Gustave Caillebotte Je maintiens toutes les dispositions ci-dessus _ Je laisse en plus à mademoiselle » AD77, 112E623-1 Transcription : « Charlotte Berthier la petite maison que je possède au petit Gennevilliers laquelle est louée actuellement à Mr Luce _ toujours nette de tous droits _ Petit Genevilliers le cinq Novembre 1889 GCaillebotte » Cette page résumé le coût d’enregistrement du testament (cent quarante trois francs soixante quinze) auprès du tribunal de 1ere instance de Meaux, dont le tampon est ajouté sur la page avec la mention « signé et paraphé ne varietur par nous président du tribunal civil de Meaux assisté de m. neveux greffier en présence de maitre Courtier notaire à Meaux Meaux le vingt deux février mil huit cent quatre vingt quatorze [signature Neveux, G. Lefebvre Devaux et Courtier] » AD77, 112E623-1 Precedent Retour à la liste Suivant