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Culture & loisirs

Théophile Gautier

Publié le 21 août 2020

Agrandir l’image Tableau généalogique de Théophile Gautier, réalisé par Isabelle Rambaud
Le marquis Anne Pierre de Montesquiou-Fezenzac (1739-1798) fait construire un château à Mauperthuis par les architectes Claude-Nicolas Ledoux (1736-1806), Alexandre Théodore Brongniart (1739-1813) et Hubert Robert (1733-1808). Le château est détruit vers 1803. Ainsi, Théophile Gautier ne peut en voir que les ruines. Néanmoins, la littérature et les guides de voyages en ont fait de nombreuses descriptions tant ce château et son jardin furent remarquables. Théophile Gautier traduit dans ses romans (Mademoiselle de Maupin, Le capitaine Fracasse) le souvenir du domaine de Mauperthuis, notamment de ses fabriques (chaumière, pyramide, grotte, etc.), de son pigeonnier, de ses fontaines ou de son abreuvoir. Ces éléments sont parfois repris par d'autres auteurs, à l'instar de Gérard de Nerval.
Agrandir l’image Portrait du boucher de Mauperthuis, par Théophile Gautier, XIXe siècle. Photographie, pré-inventaire des monuments et richesses artistiques de Seine-et-Marne, 1980.
Bien que Théophile Gautier soit connu et apprécié comme écrivain, il a d'abord, et dès son enfance, la vocation de la peinture et du dessin. Entre 1828 et 1830, il étudie dans l'atelier du peintre de genre Louis-Édouard Rioult (1790-1855) qui lui "a inspiré le goût de l'art". Toutefois, à partir de l'âge de 19 ans, il se consacre à la poésie et à l'écriture. Il pratique le dessin et la peinture pour son plaisir ou comme une aide à l'écriture de ses romans. Parmi ses tableaux de jeunesse, Théophile Gautier fait allusion à des éléments du village de Mauperthuis (Saint Pierre guérissant le paralytique, 1829) et réalise des portraits des habitants. - Cliché : Service photographique des Archives départementales de Seine-et-Marne.
Agrandir l’image Portrait de la bouchère de Mauperthuis, par Théophile Gautier, XIXe siècle. Photographie, pré-inventaire des monuments et richesses artistiques de Seine-et-Marne, 1980.
Bien que Théophile Gautier soit connu et apprécié comme écrivain, il a d'abord, et dès son enfance, la vocation de la peinture et du dessin. Entre 1828 et 1830, il étudie dans l'atelier du peintre de genre Louis-Édouard Rioult (1790-1855) qui lui "a inspiré le goût de l'art". Toutefois, à partir de l'âge de 19 ans, il se consacre à la poésie et à l'écriture. Il pratique le dessin et la peinture pour son plaisir ou comme une aide à l'écriture de ses romans. Parmi ses tableaux de jeunesse, Théophile Gautier fait allusion à des éléments du village de Mauperthuis (Saint Pierre guérissant le paralytique, 1829) et réalise des portraits des habitants. - Cliché : Service photographique des Archives départementales de Seine-et-Marne.
Agrandir l’image Église de Mauperthuis, photographie, 2009.

Bien que Théophile Gautier soit connu et apprécié comme écrivain, il a d'abord, et dès son enfance, la vocation de la peinture et du dessin. Entre 1828 et 1830, il étudie dans l'atelier du peintre de genre Louis-Édouard Rioult (1790-1855) qui lui "a inspiré le goût de l'art". Toutefois, à partir de l'âge de 19 ans, il se consacre à la poésie et à l'écriture. Il pratique le dessin et la peinture pour son plaisir ou comme une aide à l'écriture de ses romans. Parmi ses tableaux de jeunesse, Théophile Gautier fait allusion à des éléments du village de Mauperthuis (Saint Pierre guérissant le paralytique, 1829) et réalise des portraits des habitants. - Cliché : Yvan Bourhis.
Agrandir l’image Le chœur de l’église de Mauperthuis, photographie, 2009.
Bien que Théophile Gautier soit connu et apprécié comme écrivain, il a d'abord, et dès son enfance, la vocation de la peinture et du dessin. Entre 1828 et 1830, il étudie dans l'atelier du peintre de genre Louis-Édouard Rioult (1790-1855) qui lui "a inspiré le goût de l'art". Toutefois, à partir de l'âge de 19 ans, il se consacre à la poésie et à l'écriture. Il pratique le dessin et la peinture pour son plaisir ou comme une aide à l'écriture de ses romans. Parmi ses tableaux de jeunesse, Théophile Gautier fait allusion à des éléments du village de Mauperthuis (Saint Pierre guérissant le paralytique, 1829) et réalise des portraits des habitants. - Cliché : Yvan Bourhis.
Agrandir l’image Théophile Gautier, Saint-Pierre guérissant le paralytique, Huile sur toile, 2,20 m x 2,35 m, 1829, église de Mauperthuis.
Bien que Théophile Gautier soit connu et apprécié comme écrivain, il a d'abord, et dès son enfance, la vocation de la peinture et du dessin. Entre 1828 et 1830, il étudie dans l'atelier du peintre de genre Louis-Édouard Rioult (1790-1855) qui lui "a inspiré le goût de l'art". Toutefois, à partir de l'âge de 19 ans, il se consacre à la poésie et à l'écriture. Il pratique le dessin et la peinture pour son plaisir ou comme une aide à l'écriture de ses romans. Parmi ses tableaux de jeunesse, Théophile Gautier fait allusion à des éléments du village de Mauperthuis (Saint Pierre guérissant le paralytique, 1829) et réalise des portraits des habitants. - Cliché : Yvan Bourhis.
Agrandir l’image Léon Pallière, Saint-Pierre guérissant un boiteux, 1819. Église Saint-Thomas d’Aquin, Paris.
Bien que Théophile Gautier soit connu et apprécié comme écrivain, il a d'abord, et dès son enfance, la vocation de la peinture et du dessin. Entre 1828 et 1830, il étudie dans l'atelier du peintre de genre Louis-Édouard Rioult (1790-1855) qui lui "a inspiré le goût de l'art". Toutefois, à partir de l'âge de 19 ans, il se consacre à la poésie et à l'écriture. Il pratique le dessin et la peinture pour son plaisir ou comme une aide à l'écriture de ses romans. Parmi ses tableaux de jeunesse, Théophile Gautier fait allusion à des éléments du village de Mauperthuis (Saint Pierre guérissant le paralytique, 1829) et réalise des portraits des habitants.
Agrandir l’image Autoportrait de Théophile Gautier en costume de la première représentation d’Hernani, 1830. AD 77, 8°7781.
Bien que Théophile Gautier soit connu et apprécié comme écrivain, il a d'abord, et dès son enfance, la vocation de la peinture et du dessin. Entre 1828 et 1830, il étudie dans l'atelier du peintre de genre Louis-Édouard Rioult (1790-1855) qui lui "a inspiré le goût de l'art". Toutefois, à partir de l'âge de 19 ans, il se consacre à la poésie et à l'écriture. Il pratique le dessin et la peinture pour son plaisir ou comme une aide à l'écriture de ses romans. Parmi ses tableaux de jeunesse, Théophile Gautier fait allusion à des éléments du village de Mauperthuis (Saint Pierre guérissant le paralytique, 1829) et réalise des portraits des habitants. - Théophile Gautier
Agrandir l’image Bottom et Titania. Dessin à l’encre de Théophile Gautier, illustration du Songe d’une nuit d’été de William Shakespeare, 1835.
Bien que Théophile Gautier soit connu et apprécié comme écrivain, il a d'abord, et dès son enfance, la vocation de la peinture et du dessin. Entre 1828 et 1830, il étudie dans l'atelier du peintre de genre Louis-Édouard Rioult (1790-1855) qui lui "a inspiré le goût de l'art". Toutefois, à partir de l'âge de 19 ans, il se consacre à la poésie et à l'écriture. Il pratique le dessin et la peinture pour son plaisir ou comme une aide à l'écriture de ses romans. Parmi ses tableaux de jeunesse, Théophile Gautier fait allusion à des éléments du village de Mauperthuis (Saint Pierre guérissant le paralytique, 1829) et réalise des portraits des habitants. - Collection Lovenjoul, Bibliothèque de l’Institut de France.
Agrandir l’image Pierre-Antoine-Jean-Baptiste, Manuel du voyageur aux environs de Paris, contenant la description historique, ancienne et moderne des monuments, châteaux, maisons de plaisance, parcs et jardins, situés dans un rayon de vingt lieues, avec leur carte géographique et topographique, tome II, Paris : Librairie Favre, 1802, p. 58-63. AD 77, 16[730/2.
En parallèle de sa carrière d'écrivain, Théophile Gautier fait régulièrement la critique du Salon dans la presse, notamment dans le Moniteur universel ou L'Artiste. Son expérience de peintre légitime son rôle de critique d'art, aujourd'hui inconnu du public contemporain. Il rédige notamment une partie consacrée au musée du Louvre et à ses peintures dans Paris. Guide par les principaux écrivains et artistes de France, publié en 1867 sous la direction de Victor Hugo. Sa description des œuvres témoigne que l'image compte autant que le mot pour lui. Cet aspect est illustré par la présentation, au cours de la conférence, des descriptions de deux tableaux, dont il existe plusieurs copies en Seine-et-Marne : La Sainte famille de Raphaël et L'apparition de l'Immaculée conception à six personnages de Bartolomé Esteban Murillo. - Librairie Favre
Agrandir l’image Pierre-Antoine-Jean-Baptiste, Manuel du voyageur aux environs de Paris, contenant la description historique, ancienne et moderne des monuments, châteaux, maisons de plaisance, parcs et jardins, situés dans un rayon de vingt lieues, avec leur carte géographique et topographique, tome II, Paris : Librairie Favre, 1802, p. 58-63. AD 77, 16[730/2.
En parallèle de sa carrière d'écrivain, Théophile Gautier fait régulièrement la critique du Salon dans la presse, notamment dans le Moniteur universel ou L'Artiste. Son expérience de peintre légitime son rôle de critique d'art, aujourd'hui inconnu du public contemporain. Il rédige notamment une partie consacrée au musée du Louvre et à ses peintures dans Paris. Guide par les principaux écrivains et artistes de France, publié en 1867 sous la direction de Victor Hugo. Sa description des œuvres témoigne que l'image compte autant que le mot pour lui. Cet aspect est illustré par la présentation, au cours de la conférence, des descriptions de deux tableaux, dont il existe plusieurs copies en Seine-et-Marne : La Sainte famille de Raphaël et L'apparition de l'Immaculée conception à six personnages de Bartolomé Esteban Murillo. - Librairie Favre
Agrandir l’image Pierre-Antoine-Jean-Baptiste, Manuel du voyageur aux environs de Paris, contenant la description historique, ancienne et moderne des monuments, châteaux, maisons de plaisance, parcs et jardins, situés dans un rayon de vingt lieues, avec leur carte géographique et topographique, tome II, Paris : Librairie Favre, 1802, p. 58-63. AD 77, 16[730/2.
En parallèle de sa carrière d'écrivain, Théophile Gautier fait régulièrement la critique du Salon dans la presse, notamment dans le Moniteur universel ou L'Artiste. Son expérience de peintre légitime son rôle de critique d'art, aujourd'hui inconnu du public contemporain. Il rédige notamment une partie consacrée au musée du Louvre et à ses peintures dans Paris. Guide par les principaux écrivains et artistes de France, publié en 1867 sous la direction de Victor Hugo. Sa description des œuvres témoigne que l'image compte autant que le mot pour lui. Cet aspect est illustré par la présentation, au cours de la conférence, des descriptions de deux tableaux, dont il existe plusieurs copies en Seine-et-Marne : La Sainte famille de Raphaël et L'apparition de l'Immaculée conception à six personnages de Bartolomé Esteban Murillo. - Librairie Favre
Agrandir l’image Plan d’intendance de Mauperthuis. AD 77, 1C30/10.
Le marquis Anne Pierre de Montesquiou-Fezenzac (1739-1798) fait construire un château à Mauperthuis par les architectes Claude-Nicolas Ledoux (1736-1806), Alexandre Théodore Brongniart (1739-1813) et Hubert Robert (1733-1808). Le château est détruit vers 1803. Ainsi, Théophile Gautier ne peut en voir que les ruines. Néanmoins, la littérature et les guides de voyages en ont fait de nombreuses descriptions tant ce château et son jardin furent remarquables. Théophile Gautier traduit dans ses romans (Mademoiselle de Maupin, Le capitaine Fracasse) le souvenir du domaine de Mauperthuis, notamment de ses fabriques (chaumière, pyramide, grotte, etc.), de son pigeonnier, de ses fontaines ou de son abreuvoir. Ces éléments sont parfois repris par d'autres auteurs, à l'instar de Gérard de Nerval.
Agrandir l’image Maquette du château de Mauperthuis, Musée Claude Nicolas Ledoux, Saline royale d’Arc-et-Senans.
Le marquis Anne Pierre de Montesquiou-Fezenzac (1739-1798) fait construire un château à Mauperthuis par les architectes Claude-Nicolas Ledoux (1736-1806), Alexandre Théodore Brongniart (1739-1813) et Hubert Robert (1733-1808). Le château est détruit vers 1803. Ainsi, Théophile Gautier ne peut en voir que les ruines. Néanmoins, la littérature et les guides de voyages en ont fait de nombreuses descriptions tant ce château et son jardin furent remarquables. Théophile Gautier traduit dans ses romans (Mademoiselle de Maupin, Le capitaine Fracasse) le souvenir du domaine de Mauperthuis, notamment de ses fabriques (chaumière, pyramide, grotte, etc.), de son pigeonnier, de ses fontaines ou de son abreuvoir. Ces éléments sont parfois repris par d'autres auteurs, à l'instar de Gérard de Nerval. - Musée Claude Nicolas Ledoux
Agrandir l’image Pigeonnier du château de Mauperthuis, photographie.
Le marquis Anne Pierre de Montesquiou-Fezenzac (1739-1798) fait construire un château à Mauperthuis par les architectes Claude-Nicolas Ledoux (1736-1806), Alexandre Théodore Brongniart (1739-1813) et Hubert Robert (1733-1808). Le château est détruit vers 1803. Ainsi, Théophile Gautier ne peut en voir que les ruines. Néanmoins, la littérature et les guides de voyages en ont fait de nombreuses descriptions tant ce château et son jardin furent remarquables. Théophile Gautier traduit dans ses romans (Mademoiselle de Maupin, Le capitaine Fracasse) le souvenir du domaine de Mauperthuis, notamment de ses fabriques (chaumière, pyramide, grotte, etc.), de son pigeonnier, de ses fontaines ou de son abreuvoir. Ces éléments sont parfois repris par d'autres auteurs, à l'instar de Gérard de Nerval. - Cliché : Yvan Bourhis.
Agrandir l’image Fontaine du château de Mauperthuis, photographie, 2009.
Le marquis Anne Pierre de Montesquiou-Fezenzac (1739-1798) fait construire un château à Mauperthuis par les architectes Claude-Nicolas Ledoux (1736-1806), Alexandre Théodore Brongniart (1739-1813) et Hubert Robert (1733-1808). Le château est détruit vers 1803. Ainsi, Théophile Gautier ne peut en voir que les ruines. Néanmoins, la littérature et les guides de voyages en ont fait de nombreuses descriptions tant ce château et son jardin furent remarquables. Théophile Gautier traduit dans ses romans (Mademoiselle de Maupin, Le capitaine Fracasse) le souvenir du domaine de Mauperthuis, notamment de ses fabriques (chaumière, pyramide, grotte, etc.), de son pigeonnier, de ses fontaines ou de son abreuvoir. Ces éléments sont parfois repris par d'autres auteurs, à l'instar de Gérard de Nerval. - Cliché : Yvan Bourhis.
Agrandir l’image Façade de la pyramide du jardin du château de Mauperthuis, photographie, 2009.
Le marquis Anne Pierre de Montesquiou-Fezenzac (1739-1798) fait construire un château à Mauperthuis par les architectes Claude-Nicolas Ledoux (1736-1806), Alexandre Théodore Brongniart (1739-1813) et Hubert Robert (1733-1808). Le château est détruit vers 1803. Ainsi, Théophile Gautier ne peut en voir que les ruines. Néanmoins, la littérature et les guides de voyages en ont fait de nombreuses descriptions tant ce château et son jardin furent remarquables. Théophile Gautier traduit dans ses romans (Mademoiselle de Maupin, Le capitaine Fracasse) le souvenir du domaine de Mauperthuis, notamment de ses fabriques (chaumière, pyramide, grotte, etc.), de son pigeonnier, de ses fontaines ou de son abreuvoir. Ces éléments sont parfois repris par d'autres auteurs, à l'instar de Gérard de Nerval. - Cliché : Yvan Bourhis.
Agrandir l’image Intérieur de la pyramide, photographie, 2009.
Le marquis Anne Pierre de Montesquiou-Fezenzac (1739-1798) fait construire un château à Mauperthuis par les architectes Claude-Nicolas Ledoux (1736-1806), Alexandre Théodore Brongniart (1739-1813) et Hubert Robert (1733-1808). Le château est détruit vers 1803. Ainsi, Théophile Gautier ne peut en voir que les ruines. Néanmoins, la littérature et les guides de voyages en ont fait de nombreuses descriptions tant ce château et son jardin furent remarquables. Théophile Gautier traduit dans ses romans (Mademoiselle de Maupin, Le capitaine Fracasse) le souvenir du domaine de Mauperthuis, notamment de ses fabriques (chaumière, pyramide, grotte, etc.), de son pigeonnier, de ses fontaines ou de son abreuvoir. Ces éléments sont parfois repris par d'autres auteurs, à l'instar de Gérard de Nerval. - Cliché : Yvan Bourhis.
Agrandir l’image La tour des gardes, photographie, 2009. Cliché : Yvan Bourhis.
Le marquis Anne Pierre de Montesquiou-Fezenzac (1739-1798) fait construire un château à Mauperthuis par les architectes Claude-Nicolas Ledoux (1736-1806), Alexandre Théodore Brongniart (1739-1813) et Hubert Robert (1733-1808). Le château est détruit vers 1803. Ainsi, Théophile Gautier ne peut en voir que les ruines. Néanmoins, la littérature et les guides de voyages en ont fait de nombreuses descriptions tant ce château et son jardin furent remarquables. Théophile Gautier traduit dans ses romans (Mademoiselle de Maupin, Le capitaine Fracasse) le souvenir du domaine de Mauperthuis, notamment de ses fabriques (chaumière, pyramide, grotte, etc.), de son pigeonnier, de ses fontaines ou de son abreuvoir. Ces éléments sont parfois repris par d'autres auteurs, à l'instar de Gérard de Nerval. - Cliché : Yvan Bourhis.
Agrandir l’image Enceinte du château de Mauperthuis, photographie, 2009. Cliché : Yvan Bourhis
Le marquis Anne Pierre de Montesquiou-Fezenzac (1739-1798) fait construire un château à Mauperthuis par les architectes Claude-Nicolas Ledoux (1736-1806), Alexandre Théodore Brongniart (1739-1813) et Hubert Robert (1733-1808). Le château est détruit vers 1803. Ainsi, Théophile Gautier ne peut en voir que les ruines. Néanmoins, la littérature et les guides de voyages en ont fait de nombreuses descriptions tant ce château et son jardin furent remarquables. Théophile Gautier traduit dans ses romans (Mademoiselle de Maupin, Le capitaine Fracasse) le souvenir du domaine de Mauperthuis, notamment de ses fabriques (chaumière, pyramide, grotte, etc.), de son pigeonnier, de ses fontaines ou de son abreuvoir. Ces éléments sont parfois repris par d'autres auteurs, à l'instar de Gérard de Nerval. - Cliché : Yvan Bourhis
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